Si un verre rempli à moitié est observé par deux personnes différentes. L’optimiste le voit à moitié plein et l’autre le voit à moitié vide. Cela se traduit par le fait que la vision des deux personnes est tout à fait différente, bien que le fait reste le même. La vie est faite de haut et de bas, mais en sachant voir les choses du bon côté, on peut toujours parvenir à retrouver sa motivation. Le coaching comportemental, émotionnel ou psychologique peut être d’une grande aide pour cultiver l’optimisme pour faire face à la vie.
Quelles initiatives prendre pour devenir optimiste ?
La motivation de faire mieux repose, entre autres raisons, sur l’optimisme. Il faut savoir examiner les bons côtés des évènements qui se présentent au cours de la vie. L’optimisme ne signifie pas pour autant que vous devez vous sentir « heureux » tout le temps. En fait, essayer de forcer des sentiments de bonheur au cours d’expériences potentiellement traumatiques peut être malsain. Au lieu de cela, vous devez vous adapter à vos émotions, en acceptant que les sentiments positifs et négatifs sont une partie naturelle de l’existence humaine. Pour apprendre facilement la vision optimiste pour devenir motivé, vous pouvez également recourir à des méthodes de coaching et de développement personnel, comme celles proposées par Roger Lannoy.
Les points importants à retenir pour cultiver l’optimisme et la motivation
Pour cultiver l’art de distinguer le côté positif d’un évènement, un travail intérieur doit être réalisé. Une remise en question de soi est un excellent moyen de savoir si nous prenons une attitude positive ou négative face à la vie. A la suite d’une erreur, par exemple, vous pouvez faire une liste de ses mauvais côtés, puis faites l’effort de trouver le même nombre d’éléments positifs. Comme point positif, par exemple, nous apprenons de nos erreurs et nous pouvons ainsi faire mieux dans l’avenir. Entre autres, évitez de vous comparer aux autres. Il est facile d’être envieux, mais cela peut souvent conduire à une réflexion dévalorisante. Il faut aussi se rappeler qu’il y a toujours quelqu’un qui vit dans une situation pire que la nôtre.