On voit de plus en plus émerger une multiplicité de fabulations relatif à la cigarette électronique. Ce qui provient indéniablement de la nouveauté de cet article.
Parmi tous ces mythes nous en avons choisi quelques que nous vous présentons dans les sections ci-dessous.
Idée Reçue 1 : l’ecigarette équivaut à un risque vis à vis des enfants.
Cette fable découle de la chimère voulant que les enfants sont naturellement attirés par les gadgets électroniques et, qu’il leur est par-dessus le marché, aisément possible de s’offrir des cigarettes électroniques en ligne.
De nombreuses enquêtes ont démontré que ces affirmations étaient tout à fait injustifiées.
En réalité, même si la clope électronique est acquérable à profusion en ligne, il reste malgré cela tout aussi vrai que pour en acheter il est indispensable de détenir une carte bleu.
Par ailleurs, le prix d’achat usuel de la clope électronique (même s’il est avantageux à long terme), demeure trop couteux pour le jeune moyen.
Par surcroît les ados ont une grande propension à juger la cigarette électrique comme un artifice que les vieux utilisaient dans le but d’arrêter la fumette. Ce qui incontestablement est entièrement contradictoire avec les motifs qui poussent les jeunes à fumer. En réalité, Ordinairement, les deux critères principaux les incitant à fumer sont d’abord l’ivresse de l’insubordination et la flamme du danger.
Objectivement, pas mal d’études ont indiqué que la grande majorité des adeptes de la cigarette électrique se situent dans la tranche d’âge trente-cinquante ans.
Idée Reçue 2 : Les cigarettes électriques sont quoi qu’il en soit aussi cancérogènes et néfastes pour la santé que les cigarettes traditionnelles.
Au cours du mois de Avril 2013, une inintelligible étude de l’organe de presse 60 millions de consommateurs, allant à l’encontre de quasi intégralité des études antécédentes, a généré un monstrueux buzz, en prônant que » la cigarette électronique pouvait propager des composés qui en quota suffisant sont possiblement cancérogéniques ».
Sur le plan méthodologique, cette affirmation a ameuté plusieurs débats.
Effectivement elle est très peu précise particulièrement au niveau de la récolte et du maniement des données.
De plus les éléments ciblés (l’acétaldéhyde, l’aldéhyde formique et le propènal) sont aussi présentes dans la cigarette normale à des doses beaucoup plus dangereuses.
Et au demeurant le pilote de l’étude en controverse, Thomas Laurenceau a été forcé de reconnaître que « Oui, oui, mille fois oui, il vaut mieux vapoter que fumer une cigarette ».
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