La science ne cesse de se développer et tous les jours, de nouveaux domaines et de nouvelles études voient le jour par le biais de la technologie. Il est tout à fait logique donc que la médecine « bio » ait été peaufinée. Ainsi, l’agence de biomédecine a vu le jour, mais elle ne l’a pas fait seule. Il y a eu également la bioéthique.
La biomédecine et la bioéthique
La biomédecine se base sur des principes biologiques pour traiter et soigner à défaut des principes cliniques. Elle use des connaissances de la médecine en combinant la biologie à la chimie. Cette discipline traite directement des caractéristiques pathologiques du corps humain suite à son exposition à un environnement hostile. Elle traite donc de la génétique médicale.
La bioéthique, elle, est à la biomédecine ce que le serment d’Hippocrate est à la médecine. En d’autres termes, c’est la discipline qui accompagne la biomédecine. Contrairement à l’éthique traditionnelle en médecine, celle-ci ne concerne pas uniquement les médecins, mais regarde tous les acteurs de toutes les sciences existantes : sociologues, biologistes et philosophes.
Ce qui lie ces deux pratiques
Ayant vu les définitions de ces deux termes, il est tout à fait normal d’affirmer que la biomédecine est indissociable de la bioéthique. Comme la première traite des critères biologiques de l’être humain, la deuxième définit ses limites. En d’autres termes, elle conscientise les acteurs de la biomédecine à ne pas dépasser les limites acceptables afin que les deux termes aillent dans un sens bénéfique pour l’Homme tout en étant contrôlés.
Comme la biomédecine implique parfois de faire des expériences sur des êtres humains en vue de trouver des solutions biologiques pour chaque individu pathologiquement atteint, il est normal de lui imposer certaines limites morales, surtout que cette branche de la médecine est en constante évolution.